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Souvenirs des années soixantes-soixante dix vues par une petite Parisienne de ces temps là

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Lecteurs de passage

lundi 7 février 2011
Tout le monde connais la chanson de Joe Dassin,à chaque fois que je l'entend ,je ne peux pas m'empêcher de repenser aux ballades, certains dimanches, avec ma mère qui m'emmenait passer la journée,  dans ce lieu, que je trouvais, du haut de mes 7 ans,  prodigieux  peut être un peu moins que le jardin 
d'acclimatation ou que la foire du trône ,mais super quand même.


 


Habitant à l'opposé, c'était toute une expédition  lorsque nous partions en métro, je trouvais cela bien long , mais une fois arrivée  wouah!  Super ! La récompense pour ma patience, c'était la promenade à dos de poney et la location d'un grand voilier, que moi et d'autres gamins faisions naviguer dans le bassin et parfois le droit d'assister au spectacle de Guignol,dans ce grand jardin situé entre le quartier Saint germain des Prés et le quartier Latin où l’ombre de Marie de Médicis rôdait encore autour de son Palais,


C’était à l'origine le jardin voulu par Marie de Médicis et restauré par Chalgrin sous le Premier Empire. Il était composé d’une partie centrale, occupée par le Grand Bassin, des allées rectilignes et des parterres de fleurs si bien paysagés.



Ha! Quelques uns d'entre vous doivent, se souvenir de la chaisière du parc,elle se précipitait sur nous alors que nous n'étions même pas encore installées, réclamant son dû, 20 centimes la simple chaise,40 centimes le fauteuil, 60 centimes le fauteuil de repos (un genre de transat ) et bien sûr 50 centimes le siège de concert, quant il y en avait un.Maman, au début, refusait toujours  de payer et finissait par accepter se disant qu'après tout la pauvre femme  n'avait sans doute point d'autres revenus.
 Bien évidement, on s'installait près du grand bassin, là où les enfants poussaient les bateaux à voile sous les regards admiratifs des parents,qu'ils louaient à la demi- heure ou bien à la journée.



Nous poussions  avec un bâton ces lourds, mais majestueux  bateaux de bois, datant du début du siècle, nous penchant si bien que nous risquions à tous moments de nous retrouver le nez dans le bassin.


Ensuite, quelques uns d'entre nous, allions faire une promenade à dos de poney près de l’Orangerie, pas très loin du monument de Delacroix, sculpté par Dalou, c'était une belle aire de jeu dans mes souvenirs.

C’était sans compter les fabuleuses marionnettes De la famille Desarthis,qui proposait des spectacles aux petits parisiens,avec les histoires de Guignol qui faisaient rire aux éclats petits et grands depuis 1933. Bien installés dans une petite salle couverte et chauffée, meublées de long petits bancs et de strapontins pour les parents,combien d'entre nous ont crié "attention Guignol derrière toi!", "il est parti à gauche"... le Théâtre du Luxembourg proposaient ces spectacles,perpétuant ainsi la tradition de la marionnette.d'ailleurs la première fois que je m'y suis rendue,  je devais avoir 3 ou 4 ans et  j'avoue, que j'avais eu très peur lorsque le méchant était apparu pour frapper Guignol.
Après un bon dimanche passé dans ce magnifique jardin, maman m'offrait de temps en temps,un ballon à la sortie des grands grilles du parc.Le marchand tenait à cette époque, ses ballons en grappes forts jolies, au bout d'une perche.Maman, m'avait raconté qu'autrefois, les ballons étaient peints à la main, ceci dura parait- il jusqu'en 1951.
Avec une superficie de 23 hectares, le jardin du Luxembourg est l'un des plus grands jardins publics de la ville de Paris, surtout si on intègre son prolongement appelé autrefois jardins de l’observatoire, qui se nomme aujourd’hui jardins Marco Polo et Cavalier-de-la-Salle. Le jardin du Luxembourg est familièrement appelé 
« Luco »par les parisiens et les étudiants.
Peut être qu un jour je vous emmènerai encore dans les lieux  qui enchantèrent mon enfance ...

Petite anecdote 
J'ai appris il y a quelques années que les bateaux utilisés sont d'époque et entretenus chaque hiver


Textes de Loopy (Novembre2008)
vendredi 4 février 2011
Ma fille est folle des sciences en tout genre  tout autant que je peux l'être de l' Histoire et nous débattions hier soir sur le sujet, quant il me prit  l'idée de lui raconter ce qu'était les sciences de la nature  quand j'étais enfant. Ce qui m'a donné le sujet de ce nouvel article.


 


Lorsque j’étais petite fille,en classe de 8 eme, notre institutrice se montrait fervente de ce qu'on appelait alors:
les travaux pratiques en leçon de chose.

 
  Il s'agissait de faire de la mini culture,je crois qu'on a tous connu cela ,bref c'était là tout un programme !
souvenez vous dans des verres à moutarde ou des pots de confiture,nous mettions une couche  un peu épaisse  de coton hydrophile,bien imbibé d'eau,sur laquelle nous posions, quelques lentilles et quelques haricots.
On arrosait régulièrement et oh ! miracle ça poussait.
Des tiges fragiles d'un blanc presque translucide,couronnées de minuscule feuilles d'un vert tendre,qui grandissaient chaque jour sous nos yeux de gamins des villes attentifs.
L'institutrice  nous nommant responsables de cette mini culture,  chacun notre tour.
Même le plus cancre de la classe y prenait grand intérêt. J'avais cru bon un beau jour,d y ajouter un pois cassé qui on s'en doute ne germa pas ! Ce qui me désola au plus haut point, moi qui me voyais déjà agricultrice... en appartement et qui me fit mériter une punition pour avoir "trafiquer" l'expérience en cours...
J'ai eu l'idée un jour de renouveler cette expérience sans le pois ,pour ma fille lui racontant comment notre prof, nous faisait faire cette expérience en classe  et comment c'était plaisant  de suivre l'évolution d' une petite plante qui croissait jour après jour sous nos yeux,  devant tout noter dans notre cahier de sciences naturelles.
Après avoir planté trois haricots dans un coton mouillé  avec mon aide, ma puce les yeux émerveillés, ce mit à surveillait  toutes les heures,la montée de des tiges qui finirent par s'incliner,se dessécher et mourir..Oui j ai toujours eu le pouce vert depuis ma tendre enfance..l'affaire avait été certes fort intéressante  mais peu gratifiante en terme de ...récolte.
Une année plus tard  en 2ème année de maternelle elle eut la chance de recommencer l'expérience avec son éducatrice,  qui cette fois réussit un peu mieux.
J ai toujours gardé dans mes souvenirs ces fameuses leçons de choses qui ont jalonnées mon primaire,et que certains instituteurs savaient rendre passionnante en nous faisant participer à quelques expériences telle celle du haricot.



 
Mais ils  y en eut bien d'autres, qui ne c'est pas retrouvé en promenade dans un parc,l'automne, ramassant des feuilles  ou des marrons et pomme de pin que nous devions ramener en classe pour  les étudier en les découpant, écrivant sur une page les différentes choses les composant et sur l autre  les dessinant bien proprement ou encore collant  feuilles et fleurs.
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Les sortie aussi les sortie au bois ou bien en forêt commentées par la maitresse, qui nous indiquait le nom des arbres,des oiseaux,nous faisant remarqué selon la saison un nid de mésange par ici un écureuil grignotant un gland par là nous indiquant la mousse au pied des arbres indiquant le nord...
Nous revenions complètement saoul d'air  fatigués mais content d'avoir vu toutes ces choses nous  petits parisiennes ...

Le lendemain nous étions misent à l'épreuve  non seulement en sciences mais aussi en français, puisse que nous devions raconter notre sortie dans une rédaction.C'était une façon amusante de nous faire découvrir les sciences naturelles et sans doute ....le français

  Aujourd'hui, du moins ici, je n'ai pas souvenir d'avoir vu ma fille ramasser quoi que ce soit pour une leçon de chose,  je me demande même si on pourrait dire encore leçon de choses,  vu qu'actuellement, les instituteurs d' ici préfèrent passer une vidéo dans la classe plutôt que de sortir leurs élèves en automne ou au printemps...Dommage ne pensez vous pas ?

Textes de Loopy (Novembre 2008)

 
 
Ce soir j'ai eu l'envie  de vous parler d'un autre film à fond historique que j'aime, tout aussi connu qu'Angélique mais un peu plus ancien,c'est CAROLINE CHERIE adapté du roman de Cécil Saint Laurent avec Martine Carol dans le rôle principal.Il s'agit du premier car il y en a eu d'autres  remake par la suite.Sans compter qu'il s'agit d' une trilogie puisse que vient ensuite :
UN CAPRICE DE CAROLINE CHERIE (1952)
LE FILS DE CAROLINE CHERIE (1954)
  
  •        UN CAPRICE  DE CAROLINE (195
    Personnellement,je n'ai vu que des rediffusions, puisse que le film est sorti en 1951 (hé! oui je n' étais pas encore née) Peu importe j'adorais ce film et je trouvais Caroline si belle et courageuse d'affronter  la tourmente révolutionnaire.
Le film avait été réalisé en France par  Richard POTTIER réalisateur d'une quarantaine de films connus comme Violettes impériales avec Luis Mariano Le chanteur de Mexico etc..
Il avait été adapté par Jean Anouilh pour les dialogues.
Caroline chérie  fut le film qui révéla Martine Carol et la porta au rang de star internationale  et de par là même lança sa carrière Elle jouera aussi dans les caprices de Caroline dans la troisième partie  Elle n'apparaitra pas  puisse que dans le fils de Caroline,  Caroline  est absente du roman donc du film.
Il sortira sur les grands écrans parisiens le 7 août 1951 enthousiasment la population française tant et si bien  que la production sortira deux suites successivement en 1952 et 1954 Mais avec un autre réalisateur.
 
 
En 1967 et 68  il y eut une nouvelle version en couleur cette fois de Caroline chérie avec cette fois France Anglade dans le role titre . et réalisé par Denys de La Patellière
Voici maintenant par la magie  de la gazette un petit extrait visuel et sonore  du Caroline Chérie
La  séquence ci dessous  commence avec l'arrestation de Caroline  qui est  ensuite emprisonnée à la Conciergerie, Caroline est sauvée par l’intervention de Gaston de Sallanches, qui réussit à la faire admettre à la maison Belhomme. Moyennant une pension exorbitante, le docteur Belhomme (Raymond Souplex) garantit un sursis contre la maladie la plus redoutable de l’époque : la guillotine. Mais, pour protéger Caroline, Sallanches a dû sacrifier une maîtresse qui lui était chère, Mme de Coigny (Marie Déa). Elle sera guillotinée, contrairement à son homonyme réelle, Aimée de Coigny (la « Belle Captive » d’André Chénier), sauvée par la chute de Robespierre.

(extrait pris sur youtube)

le fond du film en deux mots c 'est ceci:
Le 14 Juillet 1789, Caroline a 16 ans. En tant que jeune aristocrate, elle va vivre péniblement la révolution. Mais son physique, loin d'être ingrat, va lui sauver maintes fois la vie. Tout en cherchant son premier amour : Gaston de Sallanche, la jeune fille affronte courageusement les évènements...
Je vous ai fait ici un petit résumé d'une bonne partie du film et du livre par la même occasion comme cela ceux qui connaisse le film pourront se rafraîchir la mémoire quant aux autres  ils pourront le découvrir
En 1789 au moment de la révolution française,la jeune aristocrate   Caroline de Bièvre a 16 ans ,elle assiste au mariage de sa soeur ainée,jeune fille à la beauté ingrate. Caroline est le contraire de sa soeur, tout en elle attire les regards masculins et c'est à une fête galante à Vincennes,que  le 14 juillet qu'elle fait connaissance du  beau Gaston de Sallanche dont elle tombe éperdument amoureuse, ce dernier en profite pour la séduire au nez et à la barbe du soupirant, quelque peu lourdaud de Caroline, le sieur George Berthier avocat  de profession et adhérant aux idées nouvelles qu'engendre la révolution.Mais en ce jour de la prise de la Bastille ,les jeux amoureux sont vite interrompus, l'aventure révolutionnaire débute et Caroline se retrouve bien malgré elle, plongée au cœur de la tourmente.
Afin de protéger sa précieuse fille le marquis de Bièvre la marie au plus vite  à Berthier qui à la faveur du parti révolutionnaire et qui par la suite deviendra  un député de la convention ainsi qu'un des ténors  de la Gironde. Pédant,  précieux , ennuyeux et ridicule, la jeune Caroline n'aime pas vraiment son nouvel époux de plus elle ne comprend rien à la politique.Son cœur ne bat que pour le séduisant Gaston de Sallanche qui pour échapper à la terreur  s'enrôle dans l'armée  de la république en tant que capitaine.
Les girondins tombent peu après en disgrâce et sont pris en chasse par  les partisans de  Robespierre.Georges Berthier fuit seul et disparaît,Caroline doit à son tour s'enfuir pour sauver son joli cou de la guillotine et se cache.Ses tribulations commencent alors la conduisant dans de nombreux bras masculins où elle perdra sa vertu.
Elle trouvera enfin refuge dans le château de Bièvres complétement déserté par ses propriétaires. L'accalmie sera de courte durée car elle sera dénoncée par le médecin de  sa famille.Arrêtée,Caroline est expédiée à Paris puis jetée en prison à la conciergerie.Gaston de Sallanche retrouve sa trace et la fait transférer à fameuse pension Bel-Homme si coûteuse , dernier refuge pour riches ,très riches aristocrates en sursis, avant la guillotine,comme par exemple :
  ce Boismussy, bel élégant de l'ancien régime qui sa fortune épuisée,doit mourir le lendemain.Caroline n'aura pas le courage de lui refuser ses faveurs...Le temps passe et la situation de Caroline devient précaire  car l'argent  commence à lui manquer.Mais Thermidor arrive et avec lui la liberté mais la liberté a elle aussi un prix car Caroline retrouve sa vie ennuyeuse d'autrefois avec Gorges Berthier son mari  qui le vent de la terreur calmé a regagné le foyer.Elle,elle ne pense qu'à Gaston son sauveur ,son amour où peut-il être ? Un beau jour ,alors que Bonaparte  et son armée se trouvent en Italie  Le colonel Sallanche voit venir à lui  une   jolie femme très mystérieuse qui se trouve être Caroline...


Petite note : La maison Belhomme a vraiment existé. Le « docteur » était menuisier de formation. Arrêté en 1794, il échappa à l’échafaud, lui aussi grâce à la fin de la Terreur, et il put conserver la fortune amassée pendant ces années noires.
Textes de Loopy (Septembre 2008)
jeudi 27 janvier 2011
Puisse que je viens de parler entre autres des épiceries d'autrefois  et bien pourquoi pas en parler en détails de ces marchands.

On faisait les courses ou commissions dans la quartier où ce trouvait notre domicile,Nous les enfant nous devions jamais oublier d' être très polis avec eux car la réputation de notre famille était en jeu, nos mère souvent nous disaient : N'oublie pas de bien compter la monnaie qu'on te rend ou bien tu me prendre 5centimes pour un bonbon.

Il y avait le BOULANGER


chez qui on achetait des gros pains de campagne plein de farine ou bien des bâtards et même des flûtes ou ficelles ( genre de baguette de pain très fines)  puis ensuite  il y avait le PATISSIER chez qui le dimanche ou les jours de fêtes nous allions acheter les gâteau que nos mères ne pouvaient pas confectionner elles même comme le Paris Brest, le Pithivier,les éclairs  et autres spécialités.


Ah ! qui se souviens encore  de la CRÉMIÈRE où on allait chercher le lait, qu'elle nous versait tout frais dans le bidon ,sinon on lui achetait la bouteille.Elle vendait aussi les coco (oeufs) frais à la pièce puis bien sur la crème et le beurre à la livre.

 

Le BOUCHER il était important le bougre !  Il était en général bien costaud avec une face rougeaude toujours net avec sa blouse à petits carreaux bleus et son immense tablier blanc.

Chez lui on pouvait choisir sa viande, passer des commandes spéciales,Il nous  bardait un rôti en 2 temps 3 mouvements,coupait les les morceaux que nous désirions etc...

Le POISSONNIER lui aussi était important  et chaque vendredi nous nous rendions acheter la fameuse sole ou bien dans certains cas nos mère achetait une spécialité inconnue de nos régions,On le retrouvait souvent au marché aussi mais ça c est une autre histoire.


Il y avait la charcuterie  où le CHARCUTIER vendait de la chair à saucisse, où de gros jambon pendaient au plafond en compagnie de saucissons et arrivant à la caisse  il y avait la charcutière qui perchée sur un haut tabouret  nous impressionnaient avec ses rondeurs parées de clinquants bijoux.

LA MARCHANDE DE JOURNAUX ma boutique préférée avec la patisserie, On y allaient nous les gamins chercher le  journal du père et les magasines de nos  mamans et le jeudi ( jour de congé) on se prenait notre Mickey  ou les pieds nickelés ou encore le journal de Tintin ,Bibi fricotin Aggie et un tas d 'autres lectures.

Ete vous déjà allés au MARCHAND DE CAFE ?  La bonne odeur quand on pénétrait dans sa boutique où trônait de gros sacs de jute,Le marchand de café torréfiait lui même ses mélanges dans de grandes cuve impressionnantes et les effluves embaumait souvent la rue.une fois la semaine maman allait lui acheter son paquet de café frais en grains.

Il y a avaient dans ce temps là bien d' autres petits commerçants qui animaient les quartiers comme le mien  dont le coiffeur, le marchand de couleur ,la mercerie,le fameux Bougnat,le marchand de vin, le quincaillier, l' épicier,le photographe et la marchande de bonbons mais d' eux  je vous en parlerai une autre fois.

On restaient fidèles à nos commerçants  malgré l' apparition des grandes surfaces comme le Prisunic qui  lui vit le jour en 1931 ce qui faisait un bail déjà, Il avait été lancé par les magasins le Printemps.
Le premier  libre service d' alimentation ouvrit ses portes à Paris  dans le 18ème  rue Letort, un 6 juillet 1948 il mesurait en surface que 40m² une dizaine d'années après  (1958) il passa à 400m² de surface et déménagea avenue des Ternes.

Les gens aimaient cette nouveauté mais si sentaient mal à l'aise surtout les parents, l'autre génération, la nôtre , la mienne trouvait cela assez amusant puis peu à peu  ces grandes surfaces,se mirent à dévorer nos petits commerces du coin qui donnaient la vie  à nos quartier et doucement les gens devinrent des personnes anonymes ,le froid s' installa  insidieusement entre le voisinage et petit à petit on en vain à s' ignorer...

Texte de Noosky alias Loopy
mardi 25 janvier 2011
Le Petit Parisien



Quand à commencer cette gazette, commençons donc par faire un petit résumé sur la création de la presse même si cette dernière ne date pas des années soixante.

Donc pour ne parler que de la Presse française, celle-ci apparait  pour la première fois en 1771 avec le "journal de paris" premier quotidien français. Très vite elle se développe pour devenir la première au monde au début du 20 eme siècle. En 150 ans, elle aura inventé bon nombre des techniques qui vont permettre l'avènement du journal tel que nous le connaissons aujourd'hui.
En 1914 la presse française se trouve à son apogée. Il y a environs 320 titres pour un tirage global de 9,5 millions d'exemplaires, dont 1,5 millions pour le "petit parisien" qui est le plus important groupe de presse au monde.
Commence alors un lent déclin: Diminution du nombre de titres, puis avec la concurrence de la radio et de la télévision, une baisse sensible des tirages, que l’accès  du Net de nos jours empire.
La guerre (collaboration, résistance, épuration), l'apparition des groupes de presse auront en quelques décennies bouleversé notre presse nationale. Et pourtant, malgré toutes ces malheurs, la presse quotidienne reste indispensable pour nombre d'entre nous.... parce qu'elle est nôtre mémoire collective.
 Par Noosky (Mtl 2010)
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